La semaine dernière est revenu à la vie, le vénérable Charles de Gaulle…
Enfin presque, celui qui se prend pour le libérateur de la France n’est qu’une pâle copie et ressemble plus à Napoléon Bonaparte.
Le petit nerveu à encore eu de la chance, la folie d’un homme, l’a remis en scène, lui qu’on disait perdant.
Après avoir agité et divisé notre pays pendant 5 ans, n’oublions pas la chasse au roms, le honteu discours de Grenoble, voilà qu’il se pose en rassembleur et accuse ses adversaires d’utiliser « l’affaire » à leur avantages, mais de qui se moque t’on ?
N’est-il pas Président de la République et n’utilise pas, lui aussi, les moyens de l’Etat pour continuer sa campagne qu’il n’a jamais arrêté.
A qui profite le crime me direz-vous, au Front National et à l’UMP, sujet qui a déjà fait gagner Nicolas Sarkozy, rappelez-vous l’orchestration et l’exploitation médiatique électoraliste de la crise des banlieues et ses paroles déplacés avec le nettoyage au Karcher de nos cités qui mériteraient plus de considération social au lieu de cette haine, nos quartier dit « difficile » ne sont donc qu’une variable dans cette campagne de médiocre qualité où les débat volent vraiment bas si on peut dire que toutes ses insultes constituent un vrai échange d’idées pour sauver notre pays.
Celui-ci mérite mieux que des guerres d’égos, ne serait-il pas le temps de l’alternance pour unir le peuple dans l’effort collectif et pour une meilleure justice sociale.
Réponse le 6 mai 2012…