« Les blessés ont besoin de soins au plus vite, et les détenus doivent tous pouvoir être visités. Les déplacés et les communautés qui les accueillent sont parfois dans une situation très critique, explique Juerg Eglin, chef de la délégation régionale du CICR à Niamey, qui couvre le Mali et le Niger. Pour tous ceux qui ont fui les combats vers des zones jugées plus sûres mais inadaptées à un tel afflux, il s'agit d'abord de survivre. La sécurité, l'accès à la nourriture et à l'eau potable, l'hygiène restent des préoccupations quotidiennes. »
Le CICR poursuit ses efforts pour dialoguer avec toutes les autorités et les groupes armés afin de pouvoir accéder aux victimes en toute sécurité. (Lire la suite)