C’est une drôle d’histoire au pays de la fée qui cloche.
Sur un joli catalogue qui brille, un lotissement qui s’appelle les « Bergers du Palais ». Le projet est situé dans une commune de la banlieue de Limoges. On promet à l’acheteur qu’il pourra faire fortune grâce à de futurs locataires doux comme des agneaux.
Le promoteur immobilier qui n’aurait pas su mettre un financier en confiance trouve tout de même une flopée d’oies blanches grâce à d’excellents vendeurs. Il va s’en dire que les oies ne sont pas de la région. Les travaux commencent, puis s’arrêtent. Le soit-disant promoteur dépose son soit-disant bilan laissant en chantier des centaines de soit-disant logements.
Les acheteurs se retrouvent alors avec avec des crédits contractés auprès de généreuses banques qui ne prêtent pas qu’aux riches. Ça fait des tas d’histoires, un procès.
A la fin, le notaire que les journaux Limousins prendront soin de ne jamais nommer sera sauvagement … mis hors état de salir ses amis. Les banques quant à elles… tiens, mais quelles banques ?
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