Le magazine pro du jour : magazine féminin

Découvrez le magazine féminim INA dédié aux nouvelles femmes africaines, en vente en ligne. Nous rencontrons Renée qui nous explique l’origine du projet.

Magazine créé avec Madmagz. Votre entreprise et vous en quelques mots

Pourquoi avoir choisi la vente en ligne ?

INA est déjà en vente dans certains points, mais la diffusion du magazine papier est encore très limitée géographiquement. Or INA s’adresse à la femme africaine, qu’elle vive sur le continent ou qu’elle fasse partie de la diaspora. La vente en ligne est l’option logique car elle permet une visibilité hors frontières et l’accès à des niches de femmes à travers le monde qui n’auraient peut-être jamais eu accès à ce produit. Nous vivons dans un monde réactif où les femmes achètent en impulsion; être curieuses et pouvoir se procurer le magazine en un click (ou presque), que demander de plus!

Pourquoi avoir choisi Madmagz ?

Après avoir fait des recherches sur les différentes voies disponibles sur le net, j’ai apprécié la liberté qu’apporte Madmagz à toute personne voulant dévoiler son art au grand public qu’est la famille des internautes. Bien entendu, cela comporte des risques car il faut faire beaucoup de travail en amont pour communiquer sur le magazine et amener les gens à aller sur le site. Aussi, pour le potentiel acheteur, les multiples options offertes de format rendent la transaction plus agréable car toutes les bourses et tous les genres de lecteurs peuvent se sentir concernés, que ceux-ci soient des lecteurs « classiques » et optent pour la version papier, ou que ce soient des internautes avisés qui ont un véritable penchant pour tout ce qui est numérique et internet reader-friendly. (En savoir plus sur la vente de la version web)

Comment votre magazine a-t-il été accueilli ?
Le magazine a été très bien accueilli. Ceux qui ont eu le plaisir de l’avoir entre leurs mains n’en ont venté que les mérites. Les femmes, en particulier, ont apprécié la multiplicité des sujets abordés et le fait que tous ces sujets répondaient à des attentes qu’elles avaient déjà – on parle de femme africaine moderne, majoritairement CSP+, avec un pouvoir d’achat récent mais certain, avec l’envie d’emprunter le bon goût et l’élégance contemporaine des européennes, tout en demeurant profondément africaines. En fait, la seule critique qu’ils ont eu était de ne pas pouvoir se le procurer facilement. Maintenant, c’est possible !