Dishonored, c’est un peu le jeu que personne n’attendait (car non annoncé), mais qui a quand même créé un engouement certain à la dernière Gamescom. Et pour cause, le jeu présenté en « Behind Close Door » (c’est-à-dire à huit clos et seulement à une poignée de journalistes supérieurs) à remporter le prix, si ma mémoire ne me fait pas défaut, de surprise du salon.
Attention, nous ne connaissons a priori rien du titre, si ce n’est sa direction artistique, qui mérite, à elle seule, plusieurs prix, surtout quand Viktor Antonov (Half Life 2), s’en occupe. C’est édité par Bethesda et développé par des Lyonnais (Arkane Studios), et là, mon patriotisme remonte en flèche.
Bref, Dishonored, c’est français, c’est du Steam Punk, c’est du FPS teinté d’infiltrations et d’assassinats, c’est beau, c’est bon, c’est frais, mangez-en.