La question est de savoir s’il n’existerait pas une force unique dans l’univers et plus exactement une source unique de toute l’énergie universelle.
Les différences entre les trois forces (FEM,FN FG) ont accrédité l’idée qu’il se trouvait un fossé irréductible entre la physique des particules et la physique dite newtonienne, que lorsqu’on pénétrait dans la microscopie de la nature nous changions fondamentalement d’univers et que les lois valables pour le mouvement des objets macroscopique ne s’appliquaient plus aux particules élémentaires. Or, il ne se trouve rien de mystérieux dans le mouvement des particules qui justifie leur extradition des lois de la mécanique générale. La différence entre un mouvement de gravitation de type céleste et celui des particules c’est que l’une est cause de l’autre. La gravitation universelle est consécutive aux mouvements de spin qui est la manifestation de la conservation de l’énergie de masse des particules et engendre un champ gravitationnel. Cette énergie de masse est conservée sous forme d’un mouvement permanent de rotation des particules sur elles-mêmes. Cette rotation est nécessaire pour la préservation de l’intégrité de la particule et a été acquise lors de la transformation du mouvement rectiligne du photon géniteur en mouvement rotatoire immobile.
Aussi, il serait plus juste de dire que l'attraction universelle consiste en un phénomène de pression universelle, pression exercée par la substance de l'espace sur le corps et les particules en rotation qui suscite un champ d’ondes gravitationnelles dégressif. Ce champ de gravitation ainsi créé a pour effet de précipiter ou de dévier tout objet (masse de matière ou photon) y pénétrant. La pression universelle exercée par la substance de l'espace agit aussi bien sur une masse inerte que sur une masse en gravitation de sorte qu'on peut dire que le poids d'un corps se mesure à sa résistance à cette force de pression lorsqu'il est mis en mouvement. Masse grave et masse inerte sont strictement identiques puisque subissant et réagissant à la même pression universelle. Cette pression qui pèse sur chaque élément d'une masse communique à toute masse une même accélération, de sorte que le poids d'un corps est relatif à la quantité de particules qu'il contient, dans un champ de gravitation donné. De même qu'on ne pouvait imaginer avant sa mesure que l'atmosphère puisse exercer une pression sur une surface terrestre, il n'apparaissait pas évident avant sa découverte que la substance de l'espace puisse produire un effet du même type.
La pression universelle s'exprimant selon un système de champ d'ondes, on peut dire avec Einstein que ce champ est effectivement une courbure de l’espace ayant pour effet d'incurver le mouvement des corps qui y pénètrent. Mais cette courbure géométrique se révèle insuffisante pour expliquer l'origine du principe de gravitation universel et de la pesanteur. Aussi, nous pouvons appliquer toute la mathématique de la relativité générale, à la seule condition de donner un substrat réel aux ondes gravitationnelles, ce que permet la théorie de la substance de l'espace.
Le principe qui commande aux mouvements de graves n'est pas différent de celui des entités qui composent un champ gravitationnel ; De même le champ électromagnétique est provoqué par une modification physique de l'espace prématériel consécutive à l'agitation des particules.
2 - Dès lors, on ne saurait imaginer de multiples sources d’énergie qui seraient à l’œuvre lorsque nous aurions affaire à la force de gravitation, à la force électromagnétique ou nucléaire. Pourquoi donc dans un atome aurions-nous une diversité d’énergie de nature différente puisqu’une force nécessairement doit être alimentée par une énergie ? S’il y a qu’une seule origine à l’énergie, alors dans son principe de base ne devait exister qu’une seule et unique force. Aussi, la rotation des particules produit une force qui nous pouvons désigner sous le nom de FORCE UNIVERSELLE. Cette force se manifeste simplement de trois façons : gravitation, électromagnétisme et force forte.
A partir d’un principe de fonctionnement commun, nous avons relevé et analyser leurs différences. Celles-ci tiennent pour l’essentiel dans la mise en présence de masses de valeur variable et de l’orientation complémentaire ou non de leur mouvement de spin. Lorsque le proton de l’atome d’hydrogène se trouve lié à l’électron leur force de liaison relève des valeurs et constantes de l’électromagnétisme. Lorsque ce même proton est engagé avec le neutron il s’agira d’une liaison forte ou nucléaire. Le proton peut se lier tantôt avec un électron, tantôt avec un neutron sans que la nature de sa masse ou ses caractères propres de particules en soient affectés : la force ne change pas de nature selon le type de particule en présence. Les principes qui le font interagir selon les modalités de la FEM ne sont pas mécaniquement différents lorsqu’il est en relation avec le neutron dans l’interaction forte.
L’unification des trois forces sous le vocable de force universelle a consisté en la description d’un mécanisme unique qui produit, selon des modalités et des temps différents un effet attractif, électromagnétique ou nucléaire. De ceci il résulte que toute énergie électrique, toute forme de magnétisme, les liaisons nucléaires, les mouvements gravitationnels, l’attraction de pesanteur ont une origine essentiellement mécanique. La simplicité des lois de la nature, dans leur expression initiale, nous incite à supposer qu’un seul mécanisme commande un même mouvement et ces deux types de liaison. Nous pouvons considérer que dans le réel, ces forces sont de fait unifiées puisque toutes trois mesurent, selon des modes différents, un même type de mouvement de spin et orbital dépendant de leur énergie de masse.
Nous avons tenté de démontrer que la science physique ne devait pas se satisfaire de l’expérimentation ni céder aux vertiges de la mathématisation mais qu’elle avait à consolider sa progression en solidifiant ses bases théoriques. Celles-ci ne peuvent qu’être initialement simples pour se déployer par la suite vers la complexité. Ses prémisses doivent être en accord avec les lois générales de la mécanique car ainsi que le pensait Einstein : la tache suprême d’un physicien est d’arriver à des lois élémentaires universelles telles que le cosmos puisse être construit à partir d’elles par pure déduction.