Un président virtuel est un terme utilisé pour désigner tout président sortant qui palabre devant une caméra de télévision face à des journalistes souvent complaisants(dans le sens lèche-cul) et qui ne peut donc pas être compris par des téléspectateurs lambda par rapport à la réalité d'une fin de quinquennat. On détermine la virtualité d'un président par son absence de programme politique et de l'impossibilité d'afficher son bilan politique devant les téléspectateurs.
Exemple: Le quinquennat et la candidature de Nicolas Sarkozy.
La réalité augmentée désigne les émissions de télévision qui rendent possible la sympathie d'un président virtuel à la perception que nous avons naturellement de la réalité et ceci en temps réel. Elle désigne les différentes méthodes de journalisme qui permettent de faire croire et de façon réaliste que le président en exercice est bon pour la France. Ces applications sont multiples et touchent de plus en plus certains médias par rapport à tout ce qui touche au président-candidat UMP, comme pour le meeting de Villepinte et ses 80.000 militants, le bilan de son quinquennat et les mensonges, le programme politique virtuel, les vidéos et la télévision (choix des chaînes, TV-Bouygues, Canal+ ou des journalistes mous, Pujadas, Denisot), les industries du CAC40 ( faux problème de compétitivité, salaires démesurés de patrons, nombre sous-évalué de chômeurs).
Exemple: la campagne foireuse et mensongère de Nicolas Sarkozy.
Mais la réalité augmentée d'un président virtuel peuvent avoir des conséquences sur le comportement d'un électeur normal comme par exemple d'en avoir plein les couilles. En avoir plein les couilles: Ne plus pouvoir tolérer une chose.
Exemple: Cinq ans de baratin de Nicolas Sarkozy.
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