Vous vous en souvenez peut-être : le mois dernier, Mike Fitzgerald, de Celent, défiait les compagnies d'assurance de vendre leurs produits sur Facebook. Rassurez-vous, le challenge n'a pas encore été relevé. Mais il a tout de même identifié un assureur, 21st Century, qui a intégré un simulateur de prime (pour une assurance automobile) au cœur de la plate-forme de réseau social.
Hélas, il faut reconnaître que l'effort est loin d'être convaincant puisque l'application n'extrait même pas les informations de l'utilisateur à partir de son profil Facebook et lui demande au contraire de (re-)saisir son âge, sa situation maritale ou son sexe. Cette première initiative mérite donc tout au plus un 1 sur une échelle de 0 à 5. Quelle compagnie passera la première à l'étape suivante ?
Avec cette nouvelle application, qui reste gratuite, les commerçants, petits et grands, peuvent dorénavant gérer leur catalogue et leur inventaire. Il devient également possible de définir des profils d'utilisateurs avec des droits plus ou moins étendus, par exemple pour limiter l'accès d'un employé aux comptes de l'entreprise. Et l'ensemble est complété de fonctions de suivi et d'analyse des ventes dignes des logiciels les plus complets.
C'est justement le défi qu'essaie de relever la startup Clover, avec une combinaison d'éléments qui a plusieurs atouts pour convaincre. Tout d'abord, sa solution est livrée sous la forme d'une application mobile et d'un "SDK", un kit de développement (très simple) destiné à tous les commerçants qui veulent intégrer le paiement au cœur de leurs propres applications.
Pour un utilisateur enregistré auprès de la jeune pousse, le règlement d'un achat se résume à un clic sur un bouton, puis la saisie du numéro de téléphone et d'un code PIN, en guise d'authentification. L'application Clover prend alors en charge le paiement grâce aux informations fournies à l'inscription du client. Si celui-ci n'a pas encore installé le logiciel sur son mobile, il se voit offrir une réduction de 5 USD pour le faire, ce qui devrait faciliter l'adoption initiale.
La solution de Clover n'est peut-être pas encore la panacée du paiement pour le m-commerce mais elle semble prendre la bonne direction, au moins par sa facilité d'utilisation et, potentiellement (si sa réalisation est à la hauteur des promesses), au niveau de la sécurité.
Ces informations seront incluses dans les flux de l'agence destinés à des traitements automatiques, pour une utilisation envisagée dans l'algo-trading, la gestion des risques ou, plus prosaïquement, une assistance aux décisions humaines.
En un an d'existence (apparemment), MarketInvoice a déjà permis d'avancer 8 M£ à 70 clients différents, dans le cadre de 150 enchères.
Son application (sur le web et sur iPad) prend donc en charge non seulement les dépenses courantes mais également les portefeuilles de titres et diverses catégories d'actifs, tels que les stock options, sur lesquelles il est par exemple possible de réaliser des simulations.
Autre particularité de l'approche de Personal Capital, ses applications sont entièrement gratuites. Son modèle économique est cependant solide, reposant sur une offre de gestion de patrimoine (avec des conseillers financiers humains), complémentaire de ses outils en ligne. Le PFM devient ainsi un produit d'appel pour un service où la concurrence est féroce...