Karthikeyan est déçu, mais déclare, avec tout son optimisme:
« Nous allons directement travailler pour la Malaisie même si ce sera encore dur là-bas. En Chine ça ira mieux. Sans direction assistée et sans DRS fonctionnel, ici à Melbourne, c’était trop compliqué. »
Dès le vendredi les monoplaces semblaient déja totalement hors du coup, De la Rosa semblant avoir des problèmes récurrents au niveau de l’aileron avant qui accaparèrent nombre de mécaniciens dans le box. Sur la piste ce n’était guère mieux, et l’impression d’être quasi des obstacles sur la ligne de concurrents extrêmement plus rapides.
Selon une rumeur non confirmée, quelques pilotes auraient émis des réserves quand à la présence des HRT, beaucoup moins rapides et qui peuvent les gêner, en termes de sécurité, de par leur lenteur. C’est un peu comme si une voiture roulerait à a peine 95 km/h sur une autoroute limitée à 130 : Cette voiture devient un obstacle. Simple rumeur, non confirmée, répétons le mais, dans laquelle point une petite once de vérité. Absolument pas au niveau, incapables de rivaliser avec les Marussia, pourtant peu véloces, les monoplaces espagnoles vont voir venir les mécaniciens se repencher sur leur berceau pour essayer de faire d’un accouchement difficile une naissance sympathique.
Il faut néanmoins souligner que l’écurie à été gênée dans son travail de développement dus aux soucis de crashs tests non réussis il y a quelques semaines.
Souhaitons leur immensément de courage, et de chance, en leur souhaitant de participer à leur première course de la saison en Malaysie, et de participer à cette grande fête mondiale qu’est un championnat du monde de Formule1.