Le Point évoquant François Bayrou (dans son édition du 29/11/2007) le qualifiait de "Confucius du Béarn".
"Si le poil est raclé, une peau de tigre ou de léopard ne se distingue pas d’une peau de chien." C'est ce qu'aurait dit Confucius qui en connaissait un bout sur les triangulaires et le jeu de quille.
Et bien voilà, on va pouvoir accrocher la peau de deux grands fauves dans le salon. On aura pas à racler beaucoup.
Mais on ferait jamais ça à une souris.
"Elle a la peau douce,
Aux taches de son,
À l'odeur de rousse
Qui donne un frisson,
Et de sa prunelle,
Aux tons vert-de-gris,
L'amour étincelle
Dans ses yeux d'souris." (A. Bruant)