"Partout où il y a une chaumière, une ferme s’élève un lieu de tourment. Les bêtes sont enchaînées nuit et jour, les bœufs, les chevaux s’exténuent sous le joug, dans les brancards le jour, la nuit on les rive au mur ! Ah elle est belle la paix des campagnes. Les poètes peuvent la chanter ! Allons donc, ouvrons les yeux, arrière le mensonge !
L’homme est le fléau de la terre, partout où il pose le pied il enchaîne, il emprisonne, il exploite."
Georges Butaud, dans la revue Le néo-naturien, en novembre 1922