Coup de théâtre à Montréal, hier, alors que la Manifestation contre les esties de chiens sales de police, un événement qui se veut « pacifique et tempéré », a tourné au vinaigre. « Tout ce que nous voulions, c’est simplement dénoncer sereinement les esties de chiens sales de police », a affirmé Janick Dubois-Nadeau, un organisateur. « Mais alors qu’un manifestant montrait sagement son cul à un estie de chien sale de police en le traitant de gros crétin sans éducation, tout a déboulé, pour une raison que j’ignore, mais qui tend à démontrer que les polices sont des esties de chiens sales de police ».
Malgré la surprise populaire créée par les incidents que nul n’aurait su prévoir, il ne s’agirait pas du premier cas du genre. En effet, à l’école primaire St-Jean-du-Lac, en 2004, la manifestation « Dénonçons pacifiquement la grosse criss de plotte à Tanguay » avait aussi résulté en divers incidents fâcheux, notamment le pétage de yeule en sang du jeune Simon Prémont par la grosse criss de plotte à Tanguay.