Comment ne pas résister à prendre en photo ce détail d'un placard publicitaire du métro madrilène: GOYA! Quel beau nom pour une station de metro tant celui-ci nous fait voyager dans le monde souterrain de nos monstres, de nos caprices, de nos vanités... et ce monde sourd de la maison du même nom où une humanité raille, moque, appeure, brutalise et harcèle la différence d'être. Je suis tenté de faire mille et un rapprochements au quotidien avec cette maison du sourd dont parfois notre politique locale revêt l'aspect avec ses monstres qui troublent le jugement. Goya nous révèle que sa maison du sourd aux monstres grondants est bien multiple à l'envi et nous éveille au constat de la vigilance. Je connais ces monstres et le chemin tracé ne déviera pas selon les desseins qu'il lui destine. Le Parti Socialiste s'assume dans la pérénité de la constante raison de l'intérêt général qui fait qu'aujourd'hui François Hollande, tant honni par ces monstres en 2008, est devenu le seul recours pour mettre un terme au cycle funeste de Sarkozy à la tête de l'Etat.