Il y a quelques années à Bernay les galeristes pousser comme des champignons.
Puis il y eu l'effet inverse, c'est champignons là on perdue leurs sèves et hop.
Alors nous avons eu donc à Bernay près de trois galeries vouées à l'art.
Et de ces trois-là et bien deux on fermer que trop rapidement à mon goût.
Oui, des galeries d'expositions de la ville avaient fermé leurs portes (1).
Il est toujours triste de voir qu'un lieu ouvert à l'art ferme.
N'y a-t-il pas non plus la galerie "Oestraka" qui était un temps rue de geôle puis rue de Folloppe qui elle aussi à fermer ?
Il est vrai que notre ville n'est pas réellement une ville d'art à part entière soit.
Il est vrai aussi que notre ville n'a pas non plus la réputation d'une ville plus vouais à cela comme "Honfleur" peut l'être.
Mais bon, faut-il pour cela baisser les bras ?
Moi, je dis non.
Alors, il nous reste l'immuable galerie de "l'Éveil" imperturbable qui tous les 15 jours depuis 30ans nous offre des choses à voir (2).
Alors, sous prétexte que la ville n'est pas celle des marchands d'arts (tout le monde ne s'appelle pas Paris - Deauville - Honfleur) il nous faut nous priver d'elle ?
Alors, je me souviens pour l'une d'elles (3) du discourt qu'elle m'avait tenue avec force conviction sur la "Volonté de rester autonome et de ne pas tomber dans le travers de la récupération "Socioculturelle" politique locale".
Et que ne voit-on pas un beau jour ouvrir rue Folloppe quasiment face à ce lieu qui se veut "Bouilloire culturelle" cette galerie qui hier disait le contraire de ce qu'elle vivait aujourd'hui (rire).
Est puis paf, voir que quelques mois plus tard plus rien, le local était vide, plus rien.
Mais il se peut aussi que certains joue les opportunistes de la culture et ce disent nous allons ici ou là ouvrir une galerie d'art, histoire de ce montrer que l'on existe encore et trois petits tours et puis s'en vont.
L'art et un bizness fort rentable mes amis et/ou pour certains cette forme d'art la et ce monde ou l'ont ce gausse à forte gorge entre petit four au caviar et coupelle de champagne puis il y à l'art qui reste ce qu'il est, humain.
Et il est encore offert à échelle humaine à la "Brulerie" (4) avec une exposition par mois de photographies en général et ou l'entrée et libre bien que ce soit un cafetier (vendeur de café moulue sur place).
C'est-à-dire un mouvement qui sait encore ce que parler aux cœurs des gens veut dire.
Une question comme cela, pourquoi dit-on "marchands d'arts" ?
Tout et dit dans l'intitulé qui pourrait prétendre à avoir une pseudo noblesse.
Mais maintenant nous avons la nouvelle galerie (5).
Cette rue, ma parole doit être la seule rue ou l'art doit pouvoir être exposer - exister, c'est à ce demander (rire).
Oui, la galerie "Du l'art ou du cochon" en est à sa seconde exposition bimensuelle bravo depuis le début de l'année, donc bravo et longue vie à elle.
Mais bon, je reste sur mon idée que nous dansons à Bernay une valse locale éternelle d'un art qui va boitillant, clopin-clopant….
(1) Feu galerie de "l'Abbatial" place de l'abbatial.
(2) Galerie de l'Éveil rue Thiers.
(3) Feu galerie "Oestraka" rue de Geôle puis rue Folloppe.
(4) Galerie "La brulerie" rue du générale de Gaulle.
(5) Galerie 3du l'art ou du cochon" rue Folloppe.
Photographie : "Œuvre tirée de la 1re exposition de la galerie de l'art ou du cochon 2012" par le citadin mars 2012®©.
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