La pression monte. Le sac est prêt, avec une tenue pour des températures plutôt froides: un petit 8°C prévu le matin à 8h30 heure locale, et une invitée de charme: la pluie. Courir sur des pavés quand il pleut et en montée, ça va être coton, tiens.
Objectif 2h30 pour cette course. Difficile de faire moins, avec les pentes prévues sur le parcours. Du coup, ça donne les horaires de passage suivants:
- 8h30 Départ de Gan Sacher
- 8h50 Ben Yehuda
- 9h10 Vieille ville
- 9h30 Moulin de Montefiore
- 9h50 Emek Refaim
- 10h30 Amon Hanatsiv
- 11h00 Arrivée
Côté régime alimentaire, j’ai fait un gros accro au régime de pâtes recommandé par mes amis coureurs. Je n’ai pas résisté à un couscous poisson ce midi, et un gratin de pommes de terres ce soir. On reprendra les pâtes demain midi. Reste le repas prévu à bord du vol pour Tel Aviv, grosse inconnue à cette heure-ci…
Du côté des news, j’apprends qu’il y a un gros clash entre les municipalités de Jérusalem et de Tel Aviv. En effet, si le marathon organisé par la première a lieu ce vendredi, celui de Tel Aviv a lieu tout juste deux semaines après, le 30 avril. C’est bien compréhensible: passé avril, il fait vraiment très chaud en Israel, et courir par des températures de 30°C n’est conseillé à personne. Du coup, mars est la date idéale. L’alternative serait d’en organiser en novembre ou décembre.
Autre gros coup de colère, du côté des enseignants qui se plaignent de la gêne occasionnée pour les élèves qui devraient se rendre ne cours, et habiteraient sur le parcours. Là, ils se foutent de la gueule du monde: le vendredi, il n’y a pas cours en Israel…