Sécurité rapprochée

Par Hallyne

Thriller

Film américain, sud africain

Note globale: 14/20

Date de sortie: 29 février 2012

Réalisateur: Daniel Espinosa

Acteurs: Denzel Washington, Ryan Reynolds, Vera Farmiga

Durée: 1h56

Synopsis (Allociné) : Tobin Frost est le traître le plus haï et le plus redouté de la CIA. Après avoir échappé au contre-espionnage pendant près de dix ans, il refait surface en Afrique du Sud. Lorsque sa cachette d’un faubourg du Cap est attaquée par un mystérieux commando, un jeune "bleu", Matt Weston, est obligé d’assurer seul sa fuite et de le conduire dans une nouvelle résidence sécurisée. "Ange gardien" malgré lui, Matt voit dans cette mission une chance inespérée de faire ses preuves aux yeux de l’Agence. Une relation précaire s’établit entre le débutant et le renégat endurci. Mais Frost, manipulateur né, réserve quelques surprises à son candide protecteur…

Ce que j'ai pensé du film: "Sécurité Rapprochée" est un bon thriller hollywoodien, au rythme musclé et à l'intrigue correcte. Le tandem contrasté Ryan Reynolds/Denzel Wahington est une bonne surprise; des rôles d'espions de la CIA tout aussi crédibles que clichés (Matt Weston jeune débutant/Tobin Frost grand traître expérimenté). Si l'intrigue tend vers la banalité en cours de route, elle n'en reste pas moins haletante, avec le forfait cascades et armes à feu.

Un film d'action et d'espionnage qui joue la sécurité (rythme maîtrisé, action nerveuse, acteurs de renoms) mais au calibrage légèrement quelconque et inoffensif.

Réalisation:    OOOCO

Scénario:     OOOOO

Rythme:       OOOCO

Acteurs:   OOOOO

Action:         OOOCO

Intéressant? Oui

Divertissant? Oui


3 bonnes raisons d'aller voir ce film au cinéma:
-
un thriller divertissant dans ses grandes lignes, pas trop compliqué
-
un Ryan Reynolds qui m'a convaincu dans un registre moins attendu qu'à l'habituel
- une histoire qui se passe en Afrique du Sud

3 bonnes raisons de quitter la salle avant le début du film:
- un développement basique
-  un final très quelconque
- ne réinvente pas le genre