Marie-Pierre n'a jamais caché son admiration, son enthousiasme, son trouble, pour les éditions de Minuit en général et pour Laurent Mauvignier en particulier. Ce que j'appelle oubli ne risquait donc pas de lui passer à côté, encore moins de lui tomber des mains. Le fait divers est là, au coeur du roman, au coeur de la littérature, en toute compatibilité.