Sans entrer dans le fond du débat sur Mühleberg, on se doit de relever que Windisch et ses disciples n’ont vraiment pas compris comment fonctionne le web.
Ils prennent leur média pour une revue trimestrielle de luxe sur papier glacé dans laquelle des textes indigestes de plus de 18’000 signes tentent de surnager.
Cette forme d’écriture, qui ressemble plus à une logorrhée qu’à une contribution structurée, n’a rigoureusement aucune chance d’être lue, comprise et le cas échéant appréciée.
Le web ne s’improvise pas, même quand on croule sous les dollars suisses-alémaniques.