« Je mets tout ce que j’ai dans le corps et j’accélère pour essayer de mettre ce deuxième but si important. Mais ce qui compte, c’est le gros caractère démontré par l’équipe. Même réduit à dix et malgré les coups de pied arrêtés, Dijon ne nous a pas vraiment inquiétés. Paris, ce n’est pas que des individualités. C’est surtout une grosse solidarité » a-t-il déclaré à l’issue de la rencontre rapporte le quotidien Le Parisien.
Il estime d’ailleurs que le collectif est désormais en train de faire aussi gagner le PSG : « on sentait que, même à dix, on pouvait gagner ce match. C’est une question d’état d’esprit. Tout le monde se sentait concerné. Et c’est vraiment le plus important. On devient une vraie équipe. Et cela ne pouvait pas se faire en quelques jours. La réussite de Montpellier est née d’un long vécu collectif. C’est ce qui est en train d’arriver à Paris » a-t-il conclu.