La semaine dernière, je vitupérais l'ISDA, (International Swaps and Derivatives Association), l'organisme de référence de la plupart des CDS souverains, qui décrétait que le renoncement des créanciers à 70% de leurs avoirs sur la Grèce n'était pas un défaut, contre toute logique et toute base légale. Visiblement, cette première décision a fait désordre, tant et si bien que l'ISDA a finalement reconnu l'état de défaut grec. Cette décision est intrinsèquement bonne, quand bien même elle ne règle aucun des problèmes de fond de la zone Euro.
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