La campagne présidentielle se déplace au Maroc ! Pour soutenir François Hollande, la première secrétaire du PS s'est déplacée au Maroc et a tenu un meeting de soutien à François Hollande auprès des Français à l'étranger ce samedi à Casablanca .
Le discours sera bientôt mis en ligne. En attandant, découvrez notre reportage sur la journée de rencontres avec le roi du Maroc et avec de nombreux responsables marocains, le premier ministre et les membres de l'USFP
Martine Aubry a rencontré ce samedi 10 mars à Rabat le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, dans le cadre de sa visite au Maroc commencée vendredi. «Cette rencontre a duré 45 minutes et les sujets abordés ont porté sur l'évolution actuelle du Maroc et la mise en oeuvre de la Constitution actuelle», a indiqué à l'AFP l'entourage de la Première secrétaire. C ette rencontre avec M. Benkirane a également porté sur «le rôle de la France et du Maroc dans l'euroméditerranée».
«Le discours de Dakar et le discours de Grenoble nous ont fait honte. Ce n'étaient pas des discours dignes de la France. Quand on est en république, on doit respecter ceux qui sont en face», a déclaré un peu plus tôt Martine Aubry devant des militants de l'Union socialiste des forces populaires (USFP, opposition parlementaire marocaine).
Martine Aubry a également rencontré le roi du Maroc, Mohammed VI:
Plus tard dans la soirée, Martine Aubry tiendra un meeting devant les Français vivant au Maroc : «je vais les entendre, les écouter, leur présenter le projet de François Hollande, et notamment la façon dont nous abordons les relations bilatérales avec le Maroc mais aussi plus largement avec le Maghreb et celles entre l'Europe et la Méditerranée», a-t-elle indiqué.
>> Toutes les informations sur le site du PS Casablanca.
Le programme de la visite de Martine Aubry
A Rabat et à Casablanca, Martine Aubry a rencontré le Premier Ministre Monsieur Abdelilah BENKIRANE ainsi que plusieurs ministres représentant les forces politiques au Maroc. Elle s’est entretenue avec le Premier Secrétaire et des représentants de l’USFP, ainsi que des jeunes du mouvement du 20 février.