En Égypte, les citoyens se sont relayé les informations pour formenter la révolution sur les réseaux sociaux. Ceci a précipité la chute du tyran qui gouvernait leur pays. Quand Khadafi a lancé des chars d'assaut au coeur de Benghazi, toutes les caméras avaient réussi à le filmer. La presse internationale a servie de témoins, de courroie de transmission, pour alimenter le mépris du monde entier (moins quelques croches sociétés) à son égard et la chute éventuelle du dictateur.
J'ai dis que beaucoup de journalistes sont prisonniers de la ville de Homs. C'est de moins en moins vrai. De toute façon dans toutes les guerres la vérité est toujours la première victime. Le Canada vient de fermer son ambassade en Syrie et la plupart des journalistes étrangers qui étaient sur place, ont fui. Ou se cachent.
Damas a cessé d'accorder des visas au journalistes étrangers il y plusieurs semaines déjà.
Tragique vous dites? Espinosa a réussi à se faufiler au Liban depuis.
Ou quand il n'y aura plus de poudre dans la poudrière...