Ecologie et nazisme: von Polenz et Hitler

Publié le 10 mars 2012 par Orlandoderudder

Pudique!

Très pudique ou complaisante, Wikipedia nous parle de Von Polenz et des mouvements post romantiques allemands de cette façon:

Le Heimatkunst (« art de la patrie ») est en relation étroite avec le naturalisme. Le propagandiste principal de ce nouveau mouvement est l'écrivain et historien de l'art Adolf Bartels qui utilise le concept de Heimatkunst pour la première fois en 1898 dans un article pour le magazine Der Kunstwart. Il répand les nouvelles idées et conceptions avec Friedrich Lienhard dans le magazine Heimat qui ne paraîtra à Berlin que très peu de temps.
Ce nouveau mouvement voulait s'écarter du sujet de la grande ville pour se tourner vers le pays, la patrie et le peuple. L'emploi du terme Heimat permet cependant de ne pas se cantonner à la vie de campagne, la vie citadine peut être aussi abordée puisque la ville peut être aussi un lieu d'origine. Comme le naturalisme à qui il emprunte diverses techniques, le Heimatkunst ne se contente pas d'exprimer son amour du pays, il critique aussi ses manques, ses défauts. Les recherches actuelles sur ce mouvement tendent à montrer que certaines des idées de base de ce mouvement sont les mêmes que celles des mouvements écologiques actuels.
Quelques œuvres :
Julius Langbehn, Rembrandt als Erzieher (1890)
Adolf Bartels, Heimatkunst. Ein Wort zur Verständigung (1902)
Wilhelm von Polenz, Der Büttnerbauer (1895)

Conscience.

IL vaut mieux préciser que ce mouvement est la base solide de l'écologie et que tout écolo ressase les idées monstrueuses de salopards immondes à la Von Polenz, Riehl, inspirateurs directs d'Hitler... La "grande ville" et surtout l'industrie étaient pour von Polenz et autres la proie des Juifs, "dénaturés", contre-nature à leurs yeux... Et c'est la source de l'anti-modernisme actuel.cela s'oppose aux Lumières, aux idéaux de liberté...encore que Saint-Just, l"ignoble, vérétarien, ami des animaux a influé dans ces mouvances avec une idéologie de la nature politique proche: , et sociale assez c'est la droite de l Révolution Française, qui a tué, c'est le courant "écolo" avant la lettre, idolâtre de la nature et créateur de la terreur... oui, la modernité, l'industrie c'est le Juif pour ces gens pourris, et cette référence a disparu alors quel'esprit demeure dans l'opposition à la vie moderne et ce goût réac pour l' "artisanal", le retour aux valeurs "bien de chez nous", avec pain gris et refus des immigrés plus ou moins avoué...Car les pires se cachent ou parfois n'ont même pas conscience de leur racisme...qui se dévoile souvent malgré eux

Pétain.

Nous retrouvons mot pour mot les saloperies de von Polenz et consorts dans les textes écolos, mais bien sûr, on a abandonné l'antisémitisme, réactivé purtant par l'écologisme et propagé entre autres par le collabo Dumont dans "La terre française" sous l'iccupation, journal horrible dirigé par andré Bettencourt (oui, le mari de la veuve!) à une époque où la nature et la campagne se confondaient un peu idéologiquement et, à cause de la fail qui régnait encore dans certains coins d'Europe, on ne pouvait pas ne pas être productiviste: on était moins petit-bourgeois et plus esclave des grands bourgeois aryens, protecteur d'un social novateur, celui de la Révolution nationale de Pétain qui est le modèle de nos idées sociales de gauche (hé oui!)...et de la pensée écolo actuelle qui l'ignore par psychorigidité coupable!


Prendre conscience.

Les écolos actuels ne sont pas (ou pas tous) des Nazis, mais il serait nécessaire qu"ils prennent conscience que toute idéologie d ela nature est totalitaire, menaçante et s'oppose à l'hunanisme: ce qui distingue l'homme de la bête c'est sa lutte contre l'environnement. il est devenu humain, par hominisation et humanisation en se défendant, lui, si faible et nu, contre l'a nature hostile, en plantant et en semant, premiers gestes contre-nature, en inventant la médecine et la cuisine, puis la poésie, l'amour, les arts Ce sont les actes sublimes de la grandeur humaine face au néant naturel modèle de toutes les tyrannies.


A vomir.

refuse de parler de tout ça avec quiconque n'a pas lu von Polenz...  je refuse de disfuter, de débattre: c'est toujours stérile...la recherche de la vérité c'est montrer, prouver! pas besoin de débat: les textes de von Polenz et ceux d'Hitler sont là, come ceux de Carrel ou d eMaurras qui vont tous dan sle même sens que la pensée écologique actuelle! C'est indéniamble, mastoc, factuel, réel... incontournable. l'inculture est une agression, un mépris des autres, un acte foncièrement asocial voire haineux! Et c'et l'un des fondement de l'écologie qui rappelle la phrase type de la haine "je ne veux pas le savoir" L'écologie est à vomir! la terre n'et pas en danger..Sauf si l'écologie retrouve ses sources, va chez MArine pour retrouver le bon" vieux temps" du racisme, de l'anti-modernisme, de l'obscurantisme et des massacres! dire "nature", c'et le vouloir"...
au fait, qu'est-ce que la nature? Hi! hi, bonne question, n'est-ce pas, et la réponse donnée révèle malgré eux, les pouacres, les groins, les piètres, les mufles, les groins, les ignobles facho-écolos épris de "pureté"!