. Grèce : « quand on coupe les oreilles, le cou devrait s’inquiéter »
« Ce n’est pas parce que la mouche vole que cela fera d’elle un oiseau », nous rapporte dans ses mémoires le truculent porc-épic d’Alain Mabanckou (1), établissant un parallèle saisissant avec l’homme, objet de ses observations, sur lequel il ne se montre guère charitable. Car si celui-ci a des aptitudes à le commander, il aurait tort de trop s’en vanter : « l’intelligence est une graine qu’il faut arroser afin de la voir s’épanouir un jour », lâche-t-il, laconique…
Trêve de métaphore ! En ces temps où le charter se cache derrière chaque phrase électorale, où l’impéritie tient lieu de programme et l’égoïsme individuel de catéchisme philosophique, un détour par la mer Égée, pour un Téléthon qui sent comme un jet de lisier dans les champs, n’est pas un luxe. (lire la suite sur ruminances)