Valérie Pécresse…

Il va de soi que la qualité du débat et les positions qui viennent s’y accoler, pour mieux relever le niveau des appréhensions, y compris, la partition susceptible d’avoir été jouée et esquissée, font que les convictions ainsi déclinées, décrédibilise toute tentative d’abstraction des qualités qui forgent le mérite et enclenche une marge de réputation conséquente, tellement qu’effaré ou pas, on finit par se rendre à l’évidence, que loin de figer, une vision, elle s’emploie à ressortir, les effets probables des perspectives de croissance économiques qui s’offrent à la France à travers l’Europe, la construction de l’union Européenne qui se trouve être dans une phrase délicate. A cet effet d’ailleurs, la sommation à la retenue, entre les différentes options proposées pour l’adoption du traité, nous fait raviver l’idée, selon laquelle, l’état providence et les politiques sociales très protectives, mais non productives et soutenables en terme de ressource et en l’état actuel des finances publiques de l’ensemble des états, ayant rendues impossibles la docilité des peuples, à l’entame et la mise en oeuvre des réformes et des mesures d’austérité budgétaires, il devient improbable, sinon imprudent de continuer à exiger l’unicité des procédés, (voie référendaire)à l’image de certaines dispositions constitutionnelles, qui concentrent dans les situations exceptionnelles tous les pouvoirs dans les mains du président de la république, suscitant du coup une dictature au sens juridique du terme quoique justifiée par exemple en période de conflit armé, bref, j’en passe…

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