Pour une formation politique qui se dit ni de droite ni de gauche, il est bien difficile d'engager des négociations d'appareils politiques à appareils politiques. D'ailleurs le Modem ne se définit-il pas comme un mouvement ?
C'est donc à l'épreuve des faits, des dossiers à conduire que le Modem trouve la raison d'être de sa permanence politique.
Quiconque aujourd'hui professerait une alliance systématique avec le Modem en méconnaîtrait la nature, la nouveauté qui consiste aucunement à faire comme avant : des alliances du passé entre apparatchiks !
Quant aux électeurs, ils se prononceront en conscience sur la base des propositions qui leur seront faites et pour autant que celles-ci réalisent l'intérêt général.
Et l'intérêt général est de ne pas voir pour une majorité municipale exercer en son sein l'exercice d'une minorité de blocage.