Les néo-zélandais n'aiment pas qu'on leur dise ce qu'ils ont à faire et ils ont bien raison. Leurs juges doivent aussi avoir le même moral d'acier que leurs joueurs de rugby puisqu'ils ne se sont pas laissés intimider par les revendications des américains. Et maintenant Kim Dotcom (de son vrai nom Kim Schmitz) est libre. Après avoir passé un mois en prison, il a pu regagner sa propriété d'Auckland et retrouver sa famille. Le juge Nevin Dawson a refusé de céder à la pression et a examiné calmement la situation. Pour lui, ceux qui estiment que Kim va s'enfuir ont tort. Et pour cause : tous ses biens sont en Nouvelle-Zélande, sa femme est enceinte et il a trois jeunes enfants qui ont besoin de lui. Par contre, pour valider cette liberté sous caution, il a exigé que Kim soit assigné à résidence et qu'il soit complètement privé d'Internet. Par peur qu'il n'organise son départ ou qu'il crée dans la foulée un nouveau site illégal ? En tout cas, même si Kim est aussi attiré par le risque qu'un joueur de video poker en ligne, il a promis de se tenir tranquille. Il va désormais se contenter d'attendre chez lui la date fatidique du 20 août : ce jour là, la demande d'extradition vers les Etats-Unis va être examinée. Si elle est accordée, les ennuis de Kim vont prendre une autre ampleur puisqu'il encourt la peine maximale de 20 ans pour escroquerie et violations des droits d'auteur. Et les prisons américaines ont vraiment mauvaise réputation... Selon la justice américaine, Kim aurait raflé un jackpot digne des meilleurs casinos en ligne : 175 millions de dollars soit environ 132 millions d'euros ! Elle considère aussi que les artistes et les maisons de production auraient été flouées de 500 millions de dollars. En règle générale, les fondateurs de sites de streaming et de téléchargement ont du soucis à se faire. En Allemagne, l'administrateur de Kino.to a été condamné à 3 ans de prison. Le propriétaire de SkyLoad mais aussi son hébergeur, deux jeunes de 28 et 25 ans, viennent aussi d'être arrêtés et ils risquent des peines similaires.
Les néo-zélandais n'aiment pas qu'on leur dise ce qu'ils ont à faire et ils ont bien raison. Leurs juges doivent aussi avoir le même moral d'acier que leurs joueurs de rugby puisqu'ils ne se sont pas laissés intimider par les revendications des américains. Et maintenant Kim Dotcom (de son vrai nom Kim Schmitz) est libre. Après avoir passé un mois en prison, il a pu regagner sa propriété d'Auckland et retrouver sa famille. Le juge Nevin Dawson a refusé de céder à la pression et a examiné calmement la situation. Pour lui, ceux qui estiment que Kim va s'enfuir ont tort. Et pour cause : tous ses biens sont en Nouvelle-Zélande, sa femme est enceinte et il a trois jeunes enfants qui ont besoin de lui. Par contre, pour valider cette liberté sous caution, il a exigé que Kim soit assigné à résidence et qu'il soit complètement privé d'Internet. Par peur qu'il n'organise son départ ou qu'il crée dans la foulée un nouveau site illégal ? En tout cas, même si Kim est aussi attiré par le risque qu'un joueur de video poker en ligne, il a promis de se tenir tranquille. Il va désormais se contenter d'attendre chez lui la date fatidique du 20 août : ce jour là, la demande d'extradition vers les Etats-Unis va être examinée. Si elle est accordée, les ennuis de Kim vont prendre une autre ampleur puisqu'il encourt la peine maximale de 20 ans pour escroquerie et violations des droits d'auteur. Et les prisons américaines ont vraiment mauvaise réputation... Selon la justice américaine, Kim aurait raflé un jackpot digne des meilleurs casinos en ligne : 175 millions de dollars soit environ 132 millions d'euros ! Elle considère aussi que les artistes et les maisons de production auraient été flouées de 500 millions de dollars. En règle générale, les fondateurs de sites de streaming et de téléchargement ont du soucis à se faire. En Allemagne, l'administrateur de Kino.to a été condamné à 3 ans de prison. Le propriétaire de SkyLoad mais aussi son hébergeur, deux jeunes de 28 et 25 ans, viennent aussi d'être arrêtés et ils risquent des peines similaires.