"L’Éveil" coûte 1,30€ et "Paris
Normandie" lui coûte, lui, 1,60€.
Si l'on compte aussi sont pendant sur internet qui vende l'article
à l'unité au tarif de 1€.
Je trouve qu'il y a un léger malaise en effet.
Ensuite, les partenaires publicitaires qui non s'en doute
plus confiance et/ou ont peur (surtout) d'investir dans des titres régionaux devenant
caducs ?
Sachons que la presse écrite au niveau national et
toucher par cette même crise et que nos journaux locaux ne sont pas les seules
à être touché.
Mais rappelons-nous que dès les années 2005 le journal
commencer à péricliter.
Ainsi nous apprend ton qu'un "Plan dit "de
modernisation sociale" a abouti au départ de nombreux salariés et à la
fermeture de plusieurs rédactions locales, notamment à Pont-Audemer - Les Andelys et Verneuil-sur-Avre" (6).
Ensuite, rentre alors en compte la crise qui sème le
trouble le faux combat de titan (rire) qui voit monter sur le ring d'un côté la
presse papier et de l'autre la presse sur le web.
Et justement il et des titres français qui ont sur
quasiment dès le départ prendre le train en marche alors que notre journal
local lui et arrivé sur le net que très tardivement, je dirais vers 2009 -
2010.
Alors, comme à chaque cause un effet y est associé il
serait peut-être temps que ceux-là se posent des questions sur une refonte
totale du journal, facile à dire, mais trop dur à réaliser.
Sur la totalité du journal, nous n'y retrouvons plus
qu'une page consacrée à des événements locaux (Bernayen) plus ou moins
marquants.
Je trouve que cela fait assez peu si l'on compare l'autre
titre qui nous en offre près de 20 uniquement locales.
Alors, ma question est :
"Qu'attend le lectorat Bernayen outre savoir ce qui
se passe dans la commune voisine ?"
C'est savoir ce qui s'est déroulé et/ou va ce qui se
passer ici, dans notre ville.
Les journalistes sont parfois même obligés de couvrir un
rayon de 50 - 60 kilomètres pour avoir de quoi nourrir leurs n° quotidiens
(outre les correspondants - pigistes qui envois directs leurs papiers aux
rédactions).
Alors, "Alain Minc" dit aux propos de la presse
régionale des choses intéressantes je trouve et que je me permets de vous faire
partager ici, "La presse quotidienne régionale a été congelée entre 1945
et 2005. Maintenant elle va vivre en accéléré ce que les autres ont vécu en
plusieurs décennies. La redistribution des cartes, des outils industriels, la
modernisation vont être gigantesque ! Et pour une part, elle sera liée à
l’entrée d’acteurs étrangers, européens" (7).
Voilà peut-être un des axes, une des pistes de réflexion à
voir.
Oui, s'en doute une révision de la ligne éditoriale, une
redistribution des pages par villes et villages, etc.
Entamé une réelle réflexion de fond qui entre autres
devrait aider notre quotidien préféré a relevé la tête.
Réflexion comme l'entame aujourd'hui le journal "l'Éveil"
avec l'arrivée de la nouvelle rédactrice en chef.
Donc d'abord et en priorité trouve une solution qui
permettrez un réel sauvetage d'un plan social évitent des licenciements
inutiles.
Et dans un second temps de garer pour le bien de tous
lecteurs et acteurs de la vie locale un second haut-parleur des échos de notre
ville.
(1) Source
"Wikipédia" sur la page consacrée au journal "Paris
Normandie".
(2) Idem
petit (1).
(3) Idem
petit (2).
(4) D'après
les chiffres fournis par "L'O.D.J" en 2010.
(5) Idem
petit (4).
(6) Idem
petit (1).
(7) Alain
Minc pour le journal "Media" (sur internet) sous le titre "Colombani,
Plenel, Le Monde et moi" Par Emmanuelle Duverger et Robert Ménard - n° 12
mars 2007.
Photographie : "Montage de plusieurs UNES du
journal / Analyses des chiffres du journal* / Page intenret du journal en ligne et devanture de la rédaction Bernayenne" par le citadin mars 2012
®© /* extrait de "L'ODJ" ®©™.
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