Il pèse sur la presse locale en ce moment un lourd climat...

Il pèse sur la presse Française et locale plus précisément en ce moment un lourd climat.
Climat qui a fait placer le journal "Paris Normandie" en redressement judiciaire.
Pour entre autres et selon le "S.N.J" (1), pour donc "Que la Société Normande d'édition et d'impression (SNPEI) qui édite ces titres et emploie 365 salariés dont 114 journalistes a accusé en 2011 un déficit d'exploitation de deux millions d'euros pour un chiffre d'affaires d'environ 40 millions" quelque part tout par de là.
Mais cela ne donne pas raison au "GHM" de faire ce qu'il fait.
Car "Nous craignons au minimum un plan social, au pire un dépôt de bilan", a affirmé à l'AFP Benoît Marin-Curtoud, délégué du Syndicat national des Journalistes (SNJ)".
Donc, ils ont six semaines pour trouver un plan de relance.
Puis lorsque j'ai contacté pouvoir avoir des arguments pour mon article la rédaction de Bernay par mail, celle-ci n'a pas souhaité répondre aux questions que je leurs poser, estiment que pour le moment les choses devaient se décanter un peu plus semblent-ils pour qu'ils prennent réellement position.
Alors, outre les problématiques du groupe détenteurs du journal "Paris Normandie le "Groupe Hersant Médias (GHM) qui a littéralement lâché une partie importante de s'est titres de presses régionaux.
Il faut alors ceux-là trouvé une solution pour rester dans la course.
Bernay compte deux titres fondamentaux de presses écrites, et ce depuis près ou plus de 60 ans je parle ici de "L'Éveil normand" et de "Paris Normandie".
S'est ajouter à cela depuis presque 7 - 8 ans quelques blogs comme le mien par exemple ou d'autre sur des thématiques plus confidentielles.
Il est évident que mon humble blog qui à vœux d'arriver au-dessous de la cheville de nos amis de la presse et le plus ouvert d'entre eux.
Mais le sujet n'est pas mon blog, mais bien l'éventuelle cessation du traitement de l'information locale Bernayenne par l'un des organes des plus anciens que la ville et eu en son sein (née en 1944 à Déville-lès-Rouen).
68 ans que ce journal se lit sur le bord des zincs de la ville.
Quelques remaniements de tons, de lignes éditoriales, de formats (celui que j'ai connu, 40 x 50 pour en arriver en 2007 a un format dit tabloïde soit "38 x 30") et voilà le journal tel que nous le connaissons aujourd'hui.
Un lectorat bien spécifique à chacun des deux titres, mais se complétant.
J'aurais eu envie de dire que "L'Éveil" semble être un journal qui se lit au salon ou sur la table de la cuisine à la maison.
Alors, que le "Paris Normandie" lui se lit, comme je les déjà dis plus haut, sur le coin du zinc avant l'entrée et/ou à la sortie des usines.
S'en porter de jugement de valeur sur leurs deux visions rédactionnelles ce qui n'est pas mon rôle ici je ne fais alors que donner mes impressions aux vues des lecteurs que je vois vivre autour de moi.
Qu'elle et/ou serai la raison de cette crise ?
Les chiffres s'en doute comparons 2010 à 2011.
· 2010 nombres de diffusions 58 683 (réseau vente papiers) (1).
· 2011 nombres de diffusions 54 546 (réseau vente papiers) (2).
Puis en :
· 2011 nombres de diffusions 21 977 (réseau vente internet) (3).
Ce qui-là est encore inférieur aux ventes papiers.
S'est chiffres sont hélas éloquent, ils ont régressé de moitié.
Autres chiffres pour l'année 2010 concernant les ventes du journal dans les deux régions suivantes : (5)
· 27 Eure : 47 265
· 76 Seine-Maritime : 11 418
Donc, on constate un malaise évident, mais qui, qu’elle en serait alors la cause?
La crise économique nationale ?
La crise de la presse en générale, tous et n'importe quoi pourrais être jugée responsable de cette problématique dans lequel le journal s'enlise.
Si en plus ne s'ajouter pas là, la façon, dont "GHM", les lâches.
Je pense aussi que peut-être même si l'on va m'argumenter le prix de reviens, les coûts de ceci cela qu'Il y à donc peut-être aussi le prix de vente au n° qui y fait quelque chose, non ?
La suite jeudi....