Le consultant technique de Marussia, Pat Symonds, avait récemment expliqué : "Le composant défaillant avait passé un crash-test non surveillé par la FIA avec succès. Il n’est cependant cette fois pas parvenu à passer les tests d’homologation de la FIA. L’échec a donc été d’une faible marge mais nous devons faire en sorte qu’elle n’existe plus. Nous prenons le temps d’avoir une solution plus robuste en place avant l’Australie."
Le temps pour repasser ces crash-tests a cependant été plutôt court puisque dès aujourd'hui, Marussia a annoncé la bonne nouvelle. Elle était la dernière écurie à ne pas encore avoir homologué son bolide, à dix jours du premier Grand Prix, en Australie. "Après des semaines de défi pour l’équipe, nous sommes ravis d’avoir passé le dernier obstacle du dernier crash-test de la FIA aujourd’hui. Le composant en question était simplement inconstant lorsque nous l'avons fait passer aux tests de la FIA. Ce n'était donc que quelques ajustements mineurs du concept original qui ont été nécessaires," a déclaré Pat Symonds. "Nous avons de plus été tous très heureux de voir la voiture en piste ces deux derniers jours et, bien que nous ayons beaucoup de retard à rattraper, nous avons l’esprit positif à l’usine sur le fait d’être de retour dans le droit chemin. Nous attendons maintenant avec impatience le challenge de Melbourne la semaine prochaine."