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Hallal? Et pourquoi abattre?

Publié le 06 mars 2012 par Orlandoderudder

Hallal, bio, casher... les névroses réglementaire alimentaires sociales, politiques et religieuses autogratifiante et  ostracistes nous harcèlent par la connerie veule qui  émane de leur puanteur morale. c'est un point fort des "pensée" veules, des religions, c'est à dire de ce qui est fondé sur le mépris des autres.

mais évidemment, le bardotisme raciste en profite! Et nous evins agir contre la discrimination anti-hallal des hyperpouacres visqueux, coprocéphales et orchiclastes gluants! 

Ca vous gêne, l'abattage rituel? bon, il y a une solution: pas d'abattage du tout et tout le monde sera content. Oui, elle est là, la solution! PAS D'ABATTAGE! Hi! hi! :

(...) Et cependant, on est allé plus loin encore ! Au XVIe siècle, J. B. Porta, raffinant sur toutes ces horreurs, osa donner la recette de rôtir l'oie toute vive et de la manger membre à membre, tandis que le coeur palpite encore! Il ne manquait plus que d'obliger une autre oie à tourner la broche... Vous riez ! Vous croyez que je plaisante ? Pas le moins du monde. Avant l'invention des tournebroches, on employait souvent des animaux pour suppléer à la main de l'homme, et, parmi ces animaux, se trouvait l'oie qui était ainsi exposée à faire rôtir le lendemain l'amie pour laquelle son coeur avait battu la veille, ou l'enfant qu'elle avait couvé...

« Triste objet, » que la mort avait défiguré,
« Et que méconnaîtrait l'oeil même de son père !... »
Charles Bataillard, L'oie réhabilitée, 1865. Giambatista Della Porta était pourtant un grand humaniste, un érudit fabuleux qu'il est bon de connaître: http://fr.wikipedia.org/wiki/Giambattista_della_Porta

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