"Les Hommes sont des oiseaux de passage"-William Shakespeare-
C'est ainsi toujours la même histoire et l'on ne s'en lasse pas.Mieux, certains en redemandent même, et s'ils avaient la possibilité de faire en sorte que ne s'inscrive jamais trois lettres fatidiques, et bien, ils signeraient immédiatement sans réfléchir pour l'éternité des siècles des siècles qui s'amènent.Serions-nous donc indispensable?Mêmeà nous-même? Aurions-nous l'intention de camper sur nos positions coûte que coûteet quoi qu'il en soit?Prendrions-nous soin de notre apparence au point que ne s'altère l'Ego?Entamerions-nous pour une cause indéterminée mais convaincue une grève de la FIN?Aurions-nous peur de quelque chose au point de penser plus qu'hier et moins que demain?Le genre un peu rebelle avec les règles du JE?Rafistolage de super héros, diplômé en comédie , qui se relèverait toujours au dénouement de l'épisode en sautant allègrement les dieux pieds joints dans le prochain?Seulement, dans le domaine des superstitions normatives et mono-gamme, l'infini se conjugue au dessert, dans la mesure bien sur, où l'on aurait avalé précédemment et sans rechigner la cuisine quelquefois indigeste devançant l'absolution....
Personnellement, pour des raisons éthiques et toc et afin de ne pas trop déranger par là-dessus,, je n'ai nullement l'intention et l'envie de sur-jouer des prolongations quelconques et sans pour autant souhaiter me volatiliser dans les plus brefs délais, je me dis:
Laissons donc le hasard du JE procéder au tirage au sort et d'ici-là, sait-on jamais...dans la mesure des possibles, profitons bien de la cabine d'essayage.
Et pour le prix des consummations, si cela ne vous dérange pas trop, je préférerais partager la facture...
" Une pensée est une idée de passage"
-Pythagore-