Selon l’ONG, 25 des 49 assassinats ont eu lieu au nord-ouest de la Colombie, dans des départements d’Antioqua, Cordoba et Sucre. A l’origine de ces actions, les groupes paramilitaires sont montrés du doigt par l’ONG. Ces groupes ne souhaitent pas redonner les terres qu’ils ont volé il y a quelques années. Le rapport écrit ainsi : « Dans 50% des cas, les paramilitaires sont responsables de ces assassinats, ce qui démontre que ces groupes continuent d’agir de manière totalement irresponsable et incontrôlable. »
L’ONG ajoute : « on voit bien qu’un fossé existe entre les intentions gouvernementales de prévention et protection des citoyens et la réalité qui existe dans plusieurs régions du pays. » Les défenseurs des droits de l’homme en Colombie lance un appel envers les autorités juridiques du pays pour qu’ils soient mieux protégés et moins la cible d’actes crapuleux à leur égard.
Juan Martin Soler