La raison? Sa colocataire, une certaine Laura, avait trop de rapports sexuels avec son petit ami, tant dans la chambre à coucher commune que devant l’ordinateur. Selon la plaignante, le personnel de l’université n’a pas agit, ce qui aggrava sa dépression au point de devenir suicidaire.
Blankmeyer, qui souffre aussi d’une hyperactivité avec déficit de l’attention, croit qu’on aurait dû lui offrir une autre chambre à coucher après s’être plainte. La situation, insupportable, poussa la victime à s’absenter et terminer ses cours à distance.
« Nous examinons la plainte, laquelle porte sur un conflit envers une ancienne colocataire. Toute histoire a deux côtés, parfois plus, et nous répondrons à la plainte », a commenté Martin McGovern, directeur des communications et des relations publiques à l’Université Stonehill.
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