Le révérend britannique Thomas Dibdin vint découvrir la Normandie en 1818 sous la Restauration Monarchique.
« à mesure que je montais, je regardais par les ouvertures la finesse et l'élan quasi magique des baies gothiques des tours occidentales; et plus je montais, plus cette partie du bâtiment me semblait belle et magique. Je finis par atteindre le sommet, et me concentrant un peu, je regardais autour de moi. La vue était d'une beauté sans mesure.
Coutances se trouve à 4 miles de la mer, si bien qu'à l'ouest et au sud apparaissait une immense étendue océanique. De l'autre côté il y avait un vaste paysage boisé, ondulant, riche et parsemé de nombreuses fermes. Jersey surgissait au nord-ouest, encerclée par les flots et quasiment au sud se dressait la petite presqu'île rocheuse de Granville, défiant l'éternelle attaque de la vague. Une telle vue est sans égale en Normandie ni depuis aucun des monuments religieux connu de moi.»