Financiers au chocolat

DESIR, PLAISIR & GOURMANDISE …

Il y a d’abord le plaisir des yeux, puis celui du toucher, avant le plaisir de la bouche. La gourmandise, c’est tout cela.

Mordre dans ces fins gâteaux, c’est avant tout, se faire du bien, sans aucun état d’âme. C’est fermer les yeux et apprécier ces quelques minutes de bonheur tout simple. Seul ou accompagné, à la pause thé ou plongé dans un bon bouquin, je vous invite à céder à cet instant gourmand et mordre délicatement, amoureusement dans ces financiers, nappés d’une sauce chocolat/Nutella pour les rendre, comment dire, encore, …  encore plus ir-ré-sis-tibles !

Temps de préparation : 20 mn

Temps de cuisson : 15 mn

Les ingrédients pour 4 personnes :

40 g de chocolat noir

50 g de poudre d’amandes

110 g de sucre glace

40 g de farine

4 blancs d’oeuf

70 g de beurre ramoli

Commencez par préchauffez votre four à 180°.

Faites fondre le chocolat au bain-marie, ou au micro ondes. Réservez-le.

Montez les blancs en neige. Incorporez ensuite le chocolat fondu et encore tiède. Mélangez le tout rapidement mais délicatement.

Ajoutez le sucre glace, la poudre d’amandes, la farine et le beurre mou aux blancs d’oeuf. Mélangez à nouveau jusqu’à obtenir une pâte homogène.

Répartissez ensuite la pâte dans un moule en silicone pour financiers.

Enfournez la plaque durant 15 à 20 mn selon la puissance de votre four (plongez une fine lame de couteau afin de vérifier la cuisson – elle doit ressortir sèche).

Laissez les financiers refroidir 5 mn avant de les démouler, puis déposez-les sur une grille pour qu’ils refroidissent.

La recette s’arrêtait là. 

Mais comme je suis une gourmande, j’ai fait fondre une barre de chocolat noir dans un bol avec une bonne cuillère à soupe de Nutella, que j’ai ensuite mélangé pour pouvoir dessiner des traits sur la surface des petits gâteaux. Ils sont très bons natures, mais là … Ouahhhhhh !

Et pour les vrais vrais gourmands, je vous invite à plonger une bouchée d’un financier dans cette sauce au chocolat, encore chaude, et savourer. C’est OUAHHHHH !