Il arrive, tout neuf, ce neufième (dixit mademoiselle Victoire) numéro de la Bougie du Sapeur.
Cette neuvième bougie vient-elle apporter de nouvelles lumières sur l'Europe ? Certaines indiscrétions le laissent supposer. Rappelons-nous que notre cher sapeur a été impliqué dans un des événements qui ont marqué l'histoire européenne : l'antepénultième guerre franco-allemande.
Une neuvième chandelle sur le chandelier, donc. La règle du jeu étant de ne pas déflorer un sujet, surtout si la période d'incubation est de quatre années pleines, je n'en dirai pas plus ici sur les nouveautés qu'apporte ce numéro qui se veut à nouveau sans reproches. Le sapeur invoquerait-il en vain depuis le numéro 4 Pierre Terrail le Vieux, alias chevalier Bayard ? Nous le saurons prochainement. Tous à vos kiosques ! Y compris les commandants de sous-marins (celle-là, Christophe ne l'avait pas prévue...).
Deux innovations : un supplément dans l'air lbertiin du temps , la bougie du sapeur coquine, et la fin de la formule d'abonnement. Nous souhaitons toutefois que les abonnements déjà souscrits soient honorés...
J'ai reçu ce matin une demande de la part d'une chaine de télévision : La Télévision Allemande ARD (Arbeitsgemeinschaft der öffentlich-rechtlichen Rundfunkanstalten der Bundesrepublik Deutschland), première chaîne publique, souhaite parler demain de votre journal "Bougie du Sapeur". A ce sujet, nous souhaitons vous demander de nous accorder une interview...Ce ne sera pas moi l'interviewé, mais à écouter tout de même demain mercredi 29 sur Das Erste vers 17 h 15.
Cette demande fait beaucoup d'honneur à mes modestes chroniques, et au site non-officiel, mais qui ne demande qu'à l'être, que j'ai ouvert pour jeter quelques ponts (travail de sapeur...) entre les 29 févriers successifs qui rythment la durée de ce périodique.