Contrairement aux affirmations des militants de l’organisation écologiste qui s’en prend aux navires baleinier japonais qui chassent, pour des besoins scientifiques, des baleines dans l’Antarctique, le Japon a défendu la riposte de ses gardes-côtes mais a nié avoir fait usage d’armes à feu, alors que le capitaine du Steve Irwin, le navire de l’organisation écologiste, affirme avoir reçu une balle dans son gilet pare-balles.
Selon le gouvernement japonais, la riposte était justifiée car trois membres d’équipage du navire baleinier avaient été blessés par des jets de bouteilles et d’enveloppes contenant de l’acide butyrique en poudre et sous forme liquide, que les écologistes qualifient de bombes puantes.
Le porte-parole des gardes-côtes admet que des objets de la taille d’une balle, un peu plus grosse qu’une balle de tennis avait été lancées contre le navire écologiste, au cours de cette bataille navale, sans en préciser la nature.