Je rentre de quelques jours en Camargue. Les passagers du train, le bruit du métro, les crottes de chien, l'odeur des gaz d'échappement, traverser la route, affronter les bandes de jeunes racailles, éviter les crottes de chien, contourner les psychotiques sous traitement qui sont dehors on sait pas bien pourquoi, la poussière qui s'échappe du chantier d'à côté, la pisse humaine chauffée au soleil, les mégots par terre, les papiers de gâteau des voisins du dessus qui atterrissent sur mon balcon, les 8 m2 de notre chambre, ben ça me manquait pas, voilà.
Je rentre de quelques jours en Camargue. Les passagers du train, le bruit du métro, les crottes de chien, l'odeur des gaz d'échappement, traverser la route, affronter les bandes de jeunes racailles, éviter les crottes de chien, contourner les psychotiques sous traitement qui sont dehors on sait pas bien pourquoi, la poussière qui s'échappe du chantier d'à côté, la pisse humaine chauffée au soleil, les mégots par terre, les papiers de gâteau des voisins du dessus qui atterrissent sur mon balcon, les 8 m2 de notre chambre, ben ça me manquait pas, voilà.