Alors que les manifestants bahreïnites se préparent à commémorer le premier anniversaire du début des manifestations antigouvernementales de grande ampleur, l'organisation a par ailleurs sommé les autorités du pays de ne pas faire usage d'une force excessive contre eux.
"Malgré les promesses faites par le gouvernement, les victimes et proches de victimes des graves atteintes aux droits humains – torture, détention arbitraire et recours excessif à la force – qui ont eu lieu depuis le début des manifestations il y a un an attendent toujours d'obtenir justice", a déploré Hassiba Hadj-Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
Après un an, le respect de l'obligation de rendre des comptes reste une aspiration lointaine....