Je ne connaissais pas William Fitzsimmons avant de lire la chronique de "Gold in the Shadow" par l'éloquent (mais sans mots devant le disque) The Muffin Man. Rien à dire, je partage son enthousiasme pour ce sublime "The Tides Pull From the Moon" (au parfum de Sufjan Stevens indéniable).
J'ai apprécié le dernier Beirut, "The Rip Tide". La musique de Zach Condon et son groupe a toujours ce charme souvent imité, mais rarement égalé. Et ce n'est pas cet extrait "Vagabond" qui me fera changer d'avis : nostalgique mais sans sentir la naphtaline, la musique de Beirut est juste touchante et pleine d'émotion.