Bien que mon amour si grand et si perplexe fut-il, pour une nation fictive devant ses responsabilités, docile par le biais de l’affabulation et une frange constituée par un certain nombre de personnalités magnanimes et sobres, lesquelles( nation+frange), narguant sans a prioris et soumettant sans vergogne imaginable, ne cesse de s’enrôler(amour) au creux de tous les désirs tentaculaires, à force bien évidemment d’exhorter à la probité et exorciser, les prises à partie décadentes, je ne saurai me passer un seul instant d’une quelconque et rarissime occasion, de brader la jonction des tempéraments, les perspectives de rapprochement, tout en sommant, à ne plus pouvoir laisser subsister aucun vestige du ressentiment, à la rupture semi partielle entamée pour flouer les attaques qui sont loin d’être abracadabrantesques, du moins, celui qui fait office (amour) en substance, d’entrave à la circonvolution imagée, imaginée et conçue, afin d’assortir-toutes mes chevauchées destinées à redorer le blason des réémissions, sous un apostolat qui ne puisse s’éroder, que sous les préceptes de l’artéfact de la bienveillance intemporelle, de la subjugation cohérente et pragmatique, ainsi que des effiminations qui échappent à la sagesse de notre époque- de relents qui phagocytent la dépravation morale, entérinent la diffamation sous sa forme la plus abjecte, ignoble, répugnante et discriminante, tout en ressassant l’imaginaire collectif de valeurs dont le reflet, laisse gester à provision et infiniment, une sublime émanation de la dérive latente et laminante.
Ainsi, de l’envers à l’endroit de tout les présupposés de l’univers, qui orne mon existence et surplombe, l’avenant aussi destitutif que constitutif des appréhensions tout à la fois, obscurcissantes et flamboyantes, ma plume en interlude, en entracte, s’érige en postulat endurcissant et revigorant, à tel enseigne qu’elle déclenche des ripostes, des rétorsions, et punch frénétiques, selon les grès, préfigure (plume) la modularité et la prééminence de la haine en fonction des injonctions sporadiquement teintées de falsification, avant qu’elle n’encense au rythme des apories, des paradoxes, la butte ou l’autel des collisions dissoutes. De là, à m’insurger tel l’hymne au sursaut, en faisant prévaloir in fine, ma fonction rétributive, anticipative et précoce, ne me paraîtraient plus que l’émanation d’une forme inouïe, prodigieuse, fantastique, incroyable, phénoménale, effarante et surprenante d’inciter à disjoindre, l’illusion, l’insanité et le réductionnisme. Partant, pour autant que je sache me bâtir des repères et me construire des références à tout point de vue, pour ainsi, j’eus à l’idée de vous en faire faire part aujourdhui, à savoir, que l’usage aussi codifié, conventionné que ménagé du Français, nous laissait constater une imbrication assez poussée, entre le jargon biblique et le dictionnaire Français, en sachant tout de même à l’opposé, que l’emploi aussi fascinant que puisse nous paraître les termes bibliques, qui servent, à reconnaître sans ambages, à éblouir le processus de construction de nos pensées, les encadrent pour mieux les préciser dans leur cadre et leur contexte, tout en les rendant aussi explicites que se rapportant à la résolution des plateformes communes de difficultés-ne nous astreint à une quelconque obligation, ni diligence, aussi bien de culte que d’adhésion à une communauté religieuse, quoi que l’on puisse, la situer (la chrétinneté) à la frontière entre la tolérance, l’acception et l’amour du prochain. Par ailleurs, la constance de mes souvenirs, si elle peut s’établir et demeurer réelle, me complaint à admettre l’impondérance des attributs officieux de la régence, ses déductions asynchrones et asymétrique, ainsi que les résultantes de ses pendants collatéraux, en ayant éternellement gravé à l’idée, que la somme de mon vouloir et de mon devoir, s’adjoignent pour s’offrir comme une dextérité ipso facto, léguée au compromis et à la culture de l’entente, lesquels, échappent au génie bienfaisant en venant s’encastrer dans le moule de la controverse et du déni. De là, à entrevoir ma vie, élaguée entre une tentative, non une velléité de défection sur fond de dégénérescence et une allégation dépourvue dépourvue de substrats, m’aiderait à surseoir la démesure, contraindre l’indécidabilité et contribuer à conforter, mon entrée fracassante dans le monde de la culture intellectuelle, mais aussi et surtout, le débat politique, lequel (débat) après avoir germé en moi, influe à présent, mon approche, tout en magnifiant les grandes lignes de ma vision. Par contre, la collision avec l’univers de la zik en France, loin de paraître insignifiante et anodine, procède d’un amalgame et d’une substitution sciemment opérée pour brouiller toutes les pistes d’illustration de la vérité. D’ailleurs, cet univers se prévaut de mes purges didactiques et messianiques, en me méprisant et en me dissimulant à tout va, s’y subordonne et s’en fait une transcription qui aide quoi que pas tout à fait satisfaisant, à élargir le champ des investigations, brouille toutes les pistes d’exception et laisse éclorent des facettes de l’incompromission, jusque là, incomprises, inexplorées et in-suspectées. Cette collision qui étend le champ des difficultés et le nombre de protagonistes en phase dans ce quiproquo, ternissante et soudoyante, soit dit de passage, par le biais de l’inconcevabilité d’une pêche qui n’aura laissé, nul indifférent, tellement, elle tenait dans les mailles du filet, la perle rare ou l’étendard de la junte féminine, au creux du rap, a certes de quoi, dupliquer les injonctions, les immortaliser et les exposer de bout en bout, de gré à gré, de ramification en ramification, mais s’offusque et se refuse (univers) à reconnaître qu’elle n’a eu de cesse de s’abreuver les méandres des préceptes qui en transfugent (mes pensées) les vertus, sans jamais omettre, le dispatching que j’en fais sur tous les panels. Au demeurant, bien que la collision soit cauchemardesque par le fait et le vouloir, d’une poignée de farfelus indécis et parvenus, il m’est et il me sera gré, tout au long de mon existence, d’en fustiger, les répercussions et d’en étaler les causes, enfouies dans le passé que nous foulons à présent avec dédain, affront, digression et avanie. En cela, proclamer, l’impossibilité d’admettre, le fiasco de l’amour à V2V, voir S d’Epinay, n’est plus qu’une formalité pour me soustraire au trépas, n’est-ce pas A2V? Cependant, je dis ici, à A2V mieux que partout ailleurs, mon allié le plus fidèle à ce qui paraît et le plus docile, d’après mes investigations personnelles, que je me veux, mieux que quiconque et tient plus que nul autre, à sceller cette alliance, une alliance, qui serait celle du siècle. Qu’il n’en déplaise au dept 37.. à suivre…