Je reviens aujourd’hui avec une petite chronique littéraire (oui critique de livre ça rend moins bien) sur un des derniers bouquins que j’ai lu : Betty de Almadur Indridason (auteur inconnu au bataillon jusque-là de mon côté) (je me serais sans aucun doute souvenu de son ptit nom).
Avant d’entrer plus dans les détails, je vous montre la couverture du livre pour pouvoir le repérer de loin dans une librairie et le reconnaitre.
De quoi ça cause ?
Difficile de parler de ce livre sans trop en dire (je vous avance là hein). C’est un roman noir, dans la plus pure tradition du genre. On y parle d’amour, de vengeance, de sexe et de mort. L’histoire est celle d’une histoire d’amour, d’un mari trompé que l’on veut faire disparaitre et des conséquences de tout cela. Betty est une femme fatale qui sait jouer de ses atouts.
Et c’est bien alors ?
S’il est évident que j’ai beaucoup de mal à vous décrire l’histoire, je peux par contre tout simplement vous dire que vous ne regretterez pas cette lecture. Très court, le livre se lit presque d’une traite et vous réserve une très belle surprise. Et franchement, c’est assez rare de me surprendre. Je suis une experte pour deviner les choses et les voir venir très en avance. Pas là. Pas du tout. Je me suis laissée piéger sans le savoir, ni le vouloir et quel bonheur.
Cette « surprise » justifie à elle seule la lecture de ce livre. Vraiment. Pour le reste, l’ensemble est assez classique, mais fort bien écrit. Allez, il est temps d’aller faire un tour du côté de chez Betty, vous m’en direz des nouvelles !