Se payant les services de Mark Linnet (l’homme derrière Smile), Jason Brewer et ses acolytes entendent revisiter la "Popular American Music" des 60’s. La production est riche et gavée de good vibrations. C’est l’un des reproches fait à ce disque d’ailleurs, son côté trop jovial, presque non sérieux. Disons que ça pousse parfois un peu loin le concept de "tout le monde il est beau tout le monde il est gentil". Le club des explorateurs est heureux et veut qu’on le soit aussi.
En bref : plus que jamais anachroniques, The Explorers Club violent le patrimoine musical américain des années 60. On est constamment perdues sur leurs intentions mais il y a tellement de moments pop jouissifs qu’on l’aime un peu, ce disque.
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