Si vous êtes un tant soit peu Gamer, vous n’êtes sans doute pas passé à côté de la sortie de la PSVITA, la nouvelle console portable de Sony. Hier, je pense être le seul à avoir fait un article sur ma nouvelle 3DS (c’est mon côté fou-fou ça ^^), et c’est donc aujourd’hui que je vous témoigne de mon entrée dans le monde merveilleux de Sony… Ma dernière console estampillée du grand S était une PStwo, il y a de ça pas mal d’années… Mais bon, personne n’est parfait, et je dois dire qu’avec ma 360, je n’ai pas non plus été triste.
Bref, revenons donc sur la bête !
Dans une belle boite, joliement décorée, se trouve, c’est une habitude, le quota papier pour une console, c’est à dire le manuel en 34 langues aussi utile qu’un PS Move sur une PS1 (merci pour la comparaison…). A part cela, la boite contient un lot de carte pour utiliser la réalité augmentée de la Vita et un cable de rechargement.
La PSVITA arbore un design vraiment classe.Contrairement à ce qu’on pourrait croire, pas de métal mais que du plastique dur. Mais cela n’enlève rien à la qualité de finition qui est exemplaire. Elle est doté d’un port pour la carte mémoire (4, 8 ou 16 Go… format propriétaire, donc obligatoire de passer par la case « produit officiel »… car évidemment non-fournie), un port pour la cartouche, un port pour une connectique externe non utilisée pour l’instant, et un port pour le rechargement via le cable.
Je tiens à remercier Playstation France pour m’avoir fait parvenir WipeOut 2048 en version dématérialisé. Avec un poids de 1,6 Go, il me reste à l’heure actuelle, 359 minutes (j’ai un débit vraiment pourri !!), mais ayant déjà testé la démo, je peux vous dire que le jeu vaut bien toutes les éloges qu’on lui fait. Magnifique et fluide, c’est une petite bombe pour le lancement ! Le test viendra d’ici le début de semaine prochaine…
Je n’ai jamais été « console portable », j’ai j’avoue être réellement bluffé par la qualité et les performances de la PSVITA… Et ce malgré mon article dans lequel j’annonçai fièrement que je ne l’achèterai pas… Mea Culpa