Film de Jean Grémillon, 1949.
Un grand film qui donne de grands rôles à de grands acteurs. Pas de bons et de mauvais ici, mais des êtres humains comme ceux que produit la société.
Curieux Michel Bouquet, tout jeune et frêle. À la fois précurseur de ce qu’il est aujourd’hui et porteur de quelque chose de différent, de romantique, d’un ascendant Jean-Louis Barreau peut-être.
Au fond, ce qui marche le mieux au cinéma ce ne sont pas les leçons de morale que l’on tend à nous servir, mais les éternels mystères et miracles des relations humaines. Ce qu’a réussi Les intouchables, toutes proportions gardées.