Bien en amont de cette réflexion sur le jeu de présences, demeure la question de la qualité de vie au travail, de l'expérience en interne. Les salariés restent les meilleurs ambassadeurs de l'entreprise, et comme l'a très récemment mentionné Julien Cotte lors d'un interview pour L'Atelier BNP Paribas, ils ne parleront de leur entreprise que s'ils en sont fiers.
Il y aurait ainsi un risque de jeu à somme nulle, dans le cas où l'on a de jolis contenus, de la créa à craquer, mais aussi (et hélas) une expérience-salarié plus ou moins négative, avec des départs/démissions en série.
Egalement, vous trouverez un article publié sur le blog de la société Crexia basée au UK (créatrice et organisatrice de la Social Recruiting Conference), où j'ai essayé de mettre en avant quelques éléments préparatoires.