« Cette demande a conduit, entre autres, à maintenir chauffées les pelouses des stades pour plusieurs milliers d’euros par jour. C’est une nouvelle fois un coût financier et écologique imposé par des calendriers trop denses » indique Maurice Vincent dans des propos rapportés par le quotidien Le Progrès.
« L’annulation en dernière minute, de la rencontre de rugby France Irlande a montré les limites de ce fonctionnement » et demande à l’Etat de « prendre des mesures afin d’encadrer ces pratiques » ajoute-t-il.