Les 10 villes canadiennes les plus exposées à la cybercriminalité
Un classement établi lors d'une étude menée par deux firmes privées révèle que ce sont les résidants de Burlington, en Ontario, qui présentent le nombre le plus élevé de facteurs de risque de cybercriminalité.
Parmi les 30 villes canadiennes les plus à risque en ligne, suivent, aux 2e et 3e rangs, Port Coquitlam et Vancouver, en Colombie-Britannique. Fredericton, au Nouveau-Brunswick, est en 6e place alors que la seule ville québécoise est Montréal, au 30e rang.
Fredericton a enregistré le plus haut taux d'utilisation des réseaux sociaux. Calgary et Toronto se sont classées parmi les villes où les dépenses pour des ordinateurs personnels sont les plus importantes.
Parmi les 50 plus grandes villes canadiennes à l'étude, Lévis a été classée comme la ville la moins à risque en ligne. Lévis a obtenu un classement peu élevé dans l'ensemble des catégories alors que les autres villes classées dans les dernières sont Longueuil et Gatineau, aux 48e et 49e places, respectivement.
L'étude s'est attardée aux données sur les habitudes de style de vie des consommateurs et celles sur la cybercriminalité, notamment la prévalence de l'utilisation d'ordinateurs de bureau et de téléphones intelligents, du réseautage social et de points d'accès sans fil non protégés, entre autres.
La firme Sperling's BestPlaces, qui a dirigé la recherche avec la compagnie Norton, signale que les villes présentant les plus grands facteurs de risque ne sont pas nécessairement associées aux taux d'infection par des virus informatiques les plus élevés.
L'étude suggère que les Canadiens réfléchissent à la façon dont ils accèdent à Internet et aux mesures de sécurité mises en place.
Lu sur radio-Canada.ca
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