Vivrions-nous un monde du mal,
Où nous devrions établir le bien,
Car issus de l’amour,enfants de l’éternel,
Grande est notre responsabilité d’arriver à nos fins,
Et grand est le bénéfice que nos âmes y trouveront,
Le mal n’est qu’ignorance qui sait pourtant son état provisoire,
Mais Dieu qu’il s’évertue de retarder la fin de ses vices.